40ème repas du Coin, à Liège

40ème repas, le 4ème en Belgique et le premier à Liège, 15ème ville où se tenaient les agapes du Repas du Coin”.

Cela faisait un certain temps, en effet, que la dynamique communauté animée par les fondateurs de Bitcoin Liège Meet-up ou par ceux de la Chapelle du Bitcoin réclamait que l’on n’oublie pas la “Cité ardente” !

Voilà donc un oubli réparé. Nous étions 31, dont une dizaine de liégeois, des bruxellois, des luxembourgeois (voisins) mais aussi des convives venus de Paris, Toulouse, Bordeaux, Sully-sur-Loire, et enfin quelques amis de Neuchâtel. Un convive arrivait tout juste de La Valette, un autre de Hong Kong !
Le repas se déroulait au Saint-Gregory, chaleureux établissement du quartier Hors-Château, non loin de l’impressionnante “montagne de Bueren”.

Une fois les plaisanteries adressées aux français sur le mouvement des gilets jaunes (et ses rapports réels, supposés ou phantasmés avec Bitcoin) et celles adressées aux belges pour leur gouvernement sans majorité, les conversations ont évidemment tournées sur le cours de Bitcoin.  L’effondrement du cours ayant été particulièrement marqué durant le précédent repas (le 14 novembre à Aix-en-Provence) les supputations allaient bon train sur l’effet du repas du jour.

Plus sérieusement, la dynamique du minage, de l’ajustement de la difficulté et des perturbations occasionnées par la guerre du minage suscitée par le fork récent de la monnaie dite “bitcoin cash” ont évidemment alimenté une bonne part des conversations.

Celles-ci se sont poursuivies dans l’après midi, en attendant autour de vins chauds sur le marché de Noël le meet-up du soir, à l’Université de Liège, qui devait voir les présentations de la cryptomonnaie Komodo par Philippe Martin et du Cercle du Coin par son administrateur belge, l’honorable André Stilmant.

38ème Repas, à Paris

Pour ce repas parisien, il a fallu changer nos habitudes. Les habitués de nos rencontres ont appris avec émotion le décès accidentel de notre restaurateur, Serge, qui nous avait accueillis avec gentillesse durant tant de rencontres depuis deux ans.

L’établissement choisi, le Thirsty Mad Cat, s’est avéré bien agréable et son patron très accueillant.

40 convives, dont l’un venu de Nouméa, des habitués comme de nouveaux venus, y compris de la haute fonction publique ou de l’Etat-Major des Armées, et quelques journalistes suffisamment impliqués, ont discuté des sujets les plus divers.

On a évoqué bien sûr la publication le jour même de “Bitcoin Métamorphoses” d’autant qu’avec la pré-vente et dédicace la veille rue du Caire, certains convives se retrouvaient pour la deuxième fois en deux jours. On a parlé du fork à venir, celui de Bitcoin Cash, de quelques polémiques techniques et des déclarations de moins en moins optimistes venues des responsables politiques, qui semblent très en recul sur les annonces claironnées il y a quelques semaines à peine. On a aussi classiquement abordé l’avenir de Bitcoin et sa suprématie. Enfin on a discuté sérieusement de la transformation du monde des ICO, de la nouvelle vague de la finance s’intéressant à Bitcoin et d’une nouvelle ère de titrisations.

Avant et pendant le repas, un convive a procédé à quelques interview flash sur le thème que chacun attendait : LES DIX ANS DU WHITE PAPER  :

Sur les coups de 16 heures, les derniers bavards se sont quittés… ou sont partis ensemble vers le Sof’s Bar où devait se tenir la réunion trimestrielle du Cercle du Coin, mettant un terme à presque 24 heures de convivialité entre ces bitcoineurs que l’on accuse tant de se cacher !

37 ème Repas du Coin, à Amiens

Retour à Amiens, déjà visité en février 2017. La “Tech Amiénoise” se réunissait ce 19 septembre dans leur “Cantine Numérique” où les premiers arrivés firent une première incursion avant de se retrouver au fil de l’eau dans l’agréable jardin de l’établissement du même nom, en bord de Somme.

Dernier repas de l’été, sous un soleil magnifique, et en petit comité, avec 15 amis venus de Bruxelles, Marcq-en-Barœul, Braine-le-Comte, Marseille, Luxembourg ou Bordeaux, avec une poignée d’amiénois aussi.  Conversation très axée sur les évolutions politiques.

Soleil et bord de l’eau aidant, le repas s’est achevé par un petit tour en limite des hortillonnages où dormait une péniche mi-picarde mi pirate, tout à fait de circonstances.

Après la promenade, et de l’autre côté du Pont, une intéressante conférence animée par Adli Takkal-Bataille, avec deux membres du Cercle, Fabrice Heuvrad (expert comptable) et Clément Téqui (Accuracy) devant le public de la “Tech Amiénoise”.

36ème Repas du Coin : un diner sur la Seine

Le 36ème repas du Coin, le 16ème organisé à Paris, a représenté véritable une étape : celle du millième couvert servi depuis mars 2015. Ce fut, à l’issue de la réunion trimestrielle du Cercle du Coin un repas tout à fait exceptionnel, pour les 16 convives qui n’y avaient jamais participé mais aussi pour les 33 autres, dont quelques “piliers” qui n’avaient jamais vu cela :

  • Une affluence record (les convives étaient 22 en mars 2015, et encore 36 aux deux derniers repas parisiens) avec une participation manifestent dé-corrélée des variations des cours !
  • Un repas organisé pour la première fois le soir, et pour la seconde fois sur l’eau. Certes la Seine n’est pas le lac de Neuchâtel et le bateau est resté à quai. Mais on est en France, et en France, soit dit sans malice, les bitcoineurs font ce qu’ils peuvent…

  • Un convive venu du bout du monde et représentant « Tahiti Blockchain », pour rappeler que si les monnaies cryptos sont peut-être anonymes,
    elles suscitent vraiment des rencontres partout, et à la taille de la planète !
  • Une aide généreuse de la société  Just Mining, membre du Cercle du Coin, qui avait pris en charge l’apéritif et les surcoûts de
    cette soirée par rapport au format habituel du Repas.
  • Un record jamais atteint, aussi,  avec 20% de présence féminine. “Mamie Crypto”, qui assistait au repas, a fait poser quelques bitcoineurs et un invité de marque avec ses célèbres T shirts “Satoshi is a female”.
  • Autre grande première : l’organisation d’une table d’enfants dans un Repas du Coin. La gendarmerie, représentée dignement parmi les convives, a accepté de considérer cela  non comme une incitation de mineur à la débauche monétaire mais plutôt comme une aide aux jeunes parents…

 

Avec quelques solides anarchistes ou libertaires, et le public habituel de développeurs, juristes, comptables, universitaires ou startupers, le Repas accueillait aussi plusieurs représentants des institutions de notre pays et des grands corps de l’Etat. Pour la seconde fois, il recevait un membre de la représentation nationale, mais aussi des autorités diverses ayant contribué à la véritable rafale de rapports sur la blockchain, que ce soit celui de France-Stratégie ou le rapport Landau. C’est peu dire que tous les convives ici présents n’étaient pas, a priori d’accord sur tout.

Les conversations ont donc largement porté sur les différents rapports, perçus comme verres à demi pleins ou à demi-vide, sur les évolutions parfois mystérieuses des pouvoirs publics et leurs ambitions souvent jugées incompatibles. Plusieurs difficultés rencontrées par les uns et les autres ont ainsi pu être exposées avec l’espoir de voir “remonter” le message.

35ème Repas (à Neuchâtel)

Une grande première pour ce second repas en Suisse : une croisière ! C’est en effet sur un joli bateau battant le pavillon rouge à croix blanche qu’ont embarqué à midi trente précise les 42 convives de ce 35ème repas.

Au milieu du magnifique lac de Neuchâtel, 23 personnes vivant ou travaillant ici ont pu échanger de façon extrêmement agréable avec une poignée de genevois, mais aussi avec des convives venus de France, de Belgique, de Luxembourg, de Monaco et même de Malte et des États-Unis.

La présence marquée de l’Université de Neuchâtel, ainsi que du service économique du Canton témoignait du climat particulier qui fait de ce petit coin de Suisse un grand pays d’accueil pour les activités liées aux cryptomonnaies. Les conversations ont largement porté sur cette spécificité.

A peine débarqués sur le port, de nombreux convives se sont dépêchés de rejoindre l’Université pour assister à la conférence donnée par Adli Takkal Bataille dans le cadre du Master interfacultaire en innovation. Monsieur Jean-Nathanaël Karakash, Conseiller d’Etat et ministre de l’économie du Canton, a prononcé un court discours puis est resté pour écouter sans défaillance parler du Bitcoin durant près d’une heure. L’Université, qui a sponsorisé l’accueil du “Repas” sur le bateau, avait également très bien fait les choses pour ce second événement qui s’est achevé par un moment convivial.

Enfin la société Bity, qui inaugurait ses nouveaux bureaux le soir même avait convié de nombreux invités, et tous les membres présents du “Cercle du Coin”, dont le CEO Alexis Roussel est l’un des membres fondateurs.

Au total une journée riche en rencontres dans un environnement à la fois charmant et terriblement stimulant !

Ce “Repas du Coin était organisé en partenariat avec Indénodes et Komodo, qui ont mis en ligne un petit film de l’événement.

 

 

34ème Repas du Coin (à Bordeaux)

Tradition maintenue avec ce 4ème repas printanier à Bordeaux, où la communauté crypto est particulièrement active, autour notamment du WineCoin. Le repas s’est d’ailleurs déroulé dans l’agréable Central Pub Gambetta, repaire des cryptos girondins !

Parmi le 25 convives , un bon nombre de développeurs mais aussi une personne de Bordeaux Métropole. Et bien sûr, comme toujours, des amis venus de Toulouse ou de région parisienne, ainsi que de Belgique ou du Luxembourg.

Parmi les conversations, les diverses démarches et manoeuvres  politiques (Assemblée, mission Landau) , l’essor des blockchains de 3ème ou 4ème génération (qui comte encore?), les ICO et leur univers impitoyables, et naturellement les potins mondains du petit monde de la crypto francophone.

Pour nombre de participants les conversations se sont poursuivies entre le déjeuner et le meet-up que le Cercle du Coin organisait le soir même. Les orateurs, outre Jacques Favier, étaient déjà présents à midi, le professeur Marc Artzrouni, mathématicien ayant développé des équations rendant compte des schémas de Ponzi, venu de Pau, ou le gendarme Stéphane Tonelli, enquêteur spécialisé dans la cyber-criminalité, venu de Toulouse. Mais le lecteur n’en saura pas davantage sur les confidences recueillies : « le repas est un événement privé »

Prochaine rencontre à Neuchâtel en juin…

33ème Repas du Coin (à Paris)

Temps gris mais chaleur humaine pour ce 33ème repas tenu dans la petite rue Marie Stuart, qui sert un peu de fumoir et d’espace pour un apéritif toujours convivial.

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32ème Repas du Coin, à Luxembourg

A Luxembourg, comme à Paris, le Repas du Coin connait un succès que l’encombrement de la salle de restaurant permet de mesurer .

Deux ans après le premier déjeuner organisé à Luxembourg, ce sont en effet 31 convives qui se sont réunis, largement issus du Grand-Duché, mais aussi belges venus de la Wallonie voisine ou de Bruxelles, et des français venus de Bordeaux, Toulouse, Paris et… bien plus loin (jusqu’à Salt Lake City).

Dans l’agréable cadre de la Boucherie sur la Place d’Armes, les conversations ont roulé sur une riche actualité: projets d’ICO en tous sens (même le bon), fureur régulatrice d’un peu tout le monde et surprises du G20, mais aussi place du bitcoin dans les fonds, un thème qui à Luxembourg ne pouvait être ignoré. Comptabilité, régulation et définition du cadre législatif et réglementaire, relations avec les autorités, vues de Luxembourg, les choses sont parfois bien différentes !

Les convives ont pu admirer les véritables petits lingots à bitcoin conçus par CoinPlus, ce qui a ouvert des discussions sur les usages patrimoniaux de Bitcoin, mais aussi sur les thématiques de storage pour les professionnels.

 

Le Cercle du Coin organisant, en soirée, son 4ème meet-up, dans les bureaux luxembourgeois de Maltem, certains convives ont poursuivi les échanges sur une terrasse de la place d’Armes, sous le ciel encore frais mais déjà largement ensoleillé de la Place d’Armes.

31ème Repas du Coin (à Tours)

Douzième ville à recevoir le “Repas du Coin”, Tours s’est avérée une étape bien agréable.

Dex actifs liquides et substituables !

Comme à Dijon ou à Lyon, c’est chez un caviste-restaurant, Ô lieu Dit Vin que se sont retrouvés les convives. Et pour narguer le bombardement médiatique qui assure qu’il n’y a plus de transactions en bitcoin, la Maison, qui accepte Bitcoin, a reçu sans problème et aisément trois transactions dans la devise numérique !

Parmi les 22 convives, 11 du cru, de Châtellerault ou de Vierzon, un fort contingent de parisiens venus presqu’en voisins, plus quelques piliers du repas, venus de plus loin. La petite communauté de “Crypto Loire Valley” a fait part de ses projets : elle tenait le soir-même son premier meet-up, auquel des parisiens avaient décidé d’assister.

Les conversations ont tourné (pourquoi le cacher?) autour de l’évolution des cours (qui semblent presque toujours monter durant ces agapes !), de ce qui peut apparaître comme un raidissement de l’attitude de diverses autorités, de quelques “bourdes” émises dans certaines déclarations récentes …mais surtout autour de nombreux projets en cours.

La diversité des parcours professionnels et des curiosités qui ont amené les uns ou les autres vers Bitcoin et les monnaies décentralisées est toujours une source d’enrichissement dans les repas : médecine et … magie  ont été évoquées : les tours de prestidigitation n’incorporent-ils pas souvent l’usage d’un billet de banque qui apparait ou disparait ?

Plusieurs convives ayant de la famille en Afrique, l’intérêt croissant des autorités et des populations de ce continent a aussi fait l’objet d’échanges. Et, selon une tradition bien respectées, ces échanges se sont poursuivis bien après que les tables étaient desservies !

30ème Repas du Coin (à Paris)

Déjà le 30ème repas, et toujours le même plaisir pour les “anciens”, la même curiosité pour les nouveaux. Après les repas organisés à Bruxelles et Lyon, c’est à Paris que s’est tenue cette rencontre conviviale.

Encore une affluence record, avec 37 participants dont 15 découvrant l’événement : trop peu de jeunes femmes, hélas, beaucoup de juristes, de nombreux chefs d’entreprises, des amis venus de Bordeaux, Toulouse, Marseille, Lille et Strasbourg, mais aussi de Bruxelles, Neuchâtel et La  Valette
(#ChooseFrance for lunch?).

Au-delà des conversations sur le cours des choses et du bitcoin, l’incertitude juridique et même politique qui plane sur l’essor des cryptomonnaies en France a été lourdement évoquée : propos très négatifs d’un ministre, position plus ouverte d’un porte-parole qui s’empresse de retirer son message sur Twitter, tout cela peut susciter la crainte de voir la volonté compréhensible de régulation ne déboucher que sur un mélange improbable d’interdiction et de
taxation. Une occasion qui serait alors ratée pour la France…

Plus optimistes furent les conversations sur la mise en place plus rapide que beaucoup ne l’escomptaient du Lightning Network. Les discussions ont été prolongées sur la forme future de l’écosystème : une logique verticale avec des couches ou une logique honrizontale de compartiments protocolaires.

Le plus terrible, avec les Repas du Coin, c’est au fond que l’on n’a pas le courage de terminer les échanges lorsque ferme le “Petit Orgueil”, et qu’on doit les poursuivre au café…