Repas du Coin #6

Sixième repas pour marquer la « rentrée », à Paris le 16 septembre 2015. Nous sommes 26 à table, dont 10 « nouveaux » et … une jeune fille, représentant à elle-seule la Picardie dont elle vient (à défaut de Belgique) et la Suisse où elle travaille. Ce repas marque l’ouverture croissante de notre petite communauté : y participent ainsi un banquier privé indépendant, des conseils (communication, audit) de grandes sociétés, des entrepreneurs actifs à Hong-Kong ou au Cameroun…

Quelques semaines avant les attentats de novembre, les échanges sont nourris au sujet d’une « loi sur le renseignement » dont nous sommes quelques uns à penser qu’elle n’empêchera rien, si ce n’est notre propre liberté.

Repas du Coin #5

Retour à Paris le 29 juin pour un 5ème repas, qui ne réunit qu’une grosse quinzaine de convives. Là encore, la qualité des rencontres n’en souffre pas, avec beaucoup de « nouveaux » autour des « piliers » du repas. D’autant que se produit une seconde apparition de cet être rare précieux dans les sphères technos et cryptos : une jeune femme (enceinte, le bébé est né depuis : Ferréol est le plus jeune participant de notre repas : il est invité d’office pour ses 18 ans).

Repas du Coin #4

Pour le 4ème repas le 9 juin 2015, nous ne serons qu’une quinzaine à nous retrouver à Bordeaux, mais ce fut aussi une rencontre de qualité, tant pour les mets que pour les convives! L’occasion de rencontrer de nouveaux bitcoineurs, venus de Toulouse et de Marseille.

Après le  repas, une promenade dans la ville nous conduit au Jardin Public où les plus assidus attendront le meet-up du soir organisé par Adli. Le « repas » se transforme en « journée ».

Repas du Coin #3

Dès le troisième repas, tenu le 11 mai, les fondateurs décident de franchir (amicalement) les frontières de l’Hexagone et de fixer le rendez-vous à Bruxelles. C’est un beau succès, puisque le repas réunit aussi 23 convives dont 16 n’ont pas participé aux précédents. La plupart des convives sontbelges ou chtis… mais des « nouveaux » sont aussi venus de Paris et de Genève. 

Mis à part l’eau minérale facturée en supplément à 8 euros, tout s’est fort bien passé et de nombreux liens forts se sont créés entre des bitcoineurs belges et des amis français ou suisses.

La rencontre se poursuit fort tard, bière en main (meilleure et moins chère que l’eau), quelque part derrière la rue des Bouchers, sous l’étonnante statue de Jeanneke Pis, la petite sœur méconnue du célèbre garçonnet.

Repas du Coin #2

Deuxième repas le 31 mars, de nouveau à Paris, avec 23 convives, dont 11 n’ayant pas participé au premier repas, mais toujours des gens venus des régions françaises, de Suisse et de Belgique. La formule se rode.

Repas du coin #1

Le premier repas s’est tenu à Paris, le 2 mars 2015, dans le petit restaurant « la Maison » de la rue Marie Stuart (ex rue Tire-Vit) située entre le Passage du Grand Cerf et la célèbre rue Montorgueil.

Ce jour-là, les fondateurs ont testé la formule qui a peu varié depuis:

Chacun, en arrivant, paye son repas et reçoit son verre d’apéritif. On se présente fort librement les uns aux autres, dans le restaurant ou dans la rue piétonne qui se prête gracieusement à l’indispensable fonction de fumoir

Quand tout le monde est arrivé, ou quand la faim creuse les ventres, les convives sont appelés (par leurs prénoms) à se placer à l’une des trois tables animées par les trois fondateurs. Après un rapide tour de table pour se présenter si le besoin s’en fait sentir, la conversation est libre

Les règles strictes sont peu nombreuses : parler français, ne pas vendre son produit ou sa boîte. Il a été plusieurs fois question d’interdire le débat sur la taille des blocs, ou d’imaginer une sanction spécifique (payer un cognac ?) pour ce trouble à l’ordre public. 

Le 2 mars, ce premier repas fut le seul évidemment où tous les participants étaient « nouveaux ». Nombre d’entre eux se connaissaient déjà. Pourtant, dès cette première rencontre, les fondateurs avaient composé leur liste d’invités dépassant largement le périphérique parisien et s’étendant à l’étranger, avec des convives venus de Belgique et de Suisse, et en mixant les milieux professionnels : développeurs, bitcoin-enthousiastes, banquiers, juristes…

Sur 22 convives, une jeune femme : ce score ne fut, malheureusement, jamais dépassé jusqu’à ce jour. Nombre de convives s’en retournèrent œuvrer … vers 15 heures 30 passées, mais d’autres se répartirent par petits groupes dans les nombreux cafés de la rue Montorgueil et les derniers se séparèrent dans les dernières heures de la journée.