26 ème repas du Coin (à Dijon)

Un agréable record pour ce 26ème repas : tous les convives inscrits présents (et à l’heure) ! Fidèle à son ambition d’élargir sans cesse la circonférence de sa convivialité, et à un léger tropisme vers les endroits où l’on sait vivre, manger et boire, le Repas avait choisi comme 11ème ville visitée la capitale des ducs de Bourgogne.

C’est à la Fine heure, une agréable “cave à manger” que se sont réunis les 19 convives, un fort contingent de bourguignons, bien sûr (tous nouveaux au “Repas”) mais aussi  12 téméraires venus de Paris, Lyon, Marseille, Bordeaux et encore de Neuchâtel et Luxembourg.

Les conversations ont tourné sur l’actualité, et forcément sur les incertitudes liées aux décisions des autorités chinoises… La forte présence de la Burgundy School of Business a aussi conduit à plusieurs échanges sur ce qui fait une monnaie, sur l’économie des échanges décentralisés ou sur les ICO qui continuent d’étonner ou d’inquiéter. Beaucoup de “technique” aussi : non, disait un convive, impressionné: ce n’est pas “du vent”!

25ème repas du Coin (à Paris)

Le dernier repas avant les vacances d’été a rassemblé rue Marie-Stuart 36 convives dont 15 nouvelles ou nouveaux venus à ces agapes, qui ont franchi le cap des 300 invités différents depuis mars 2015.

Sous un ciel de juillet pourtant incertain on retrouvait nombre de parisiens, bien sûr, mais aussi des passionnés venus de Toulouse (ou Moissac!), Bordeaux et Nantes, ou encore de Neuchâtel et de Luxembourg. Toujours bien trop peu de dames, certes, mais une réelle diversité de parcours, puisque se mêlaient aux développeurs et startupers, des étudiants thésards, des universitaires, des auteurs spécialisés et des membres de grands corps de l’Etat.

Les sujets abordés faisaient donc une place aux problèmes techniques et de gouvernance à l’approche des échéances d’août en ce qui concerne Bitcoin et au mouvement étonnant des ICO, d’autant que l’une des toutes dernières “levées” était représentée parmi les convives.

On a aussi évoqué à la vie de la communauté francophone. Le cycle de vidéo d’Autodisciple a créé un réel intérêt parmi ses suiveurs. A chaque table, des convives avaient pu assister (et pour certains s’exprimer) à l’événement Bitcoin à Normale Sup ce qui a là aussi renouvelé les curiosités les plus diverses.

De leur côté des autorités de toutes sortes et à tous niveaux (Forum Économique Mondial ou FMI) laissent percevoir que le temps de la “blockchain sans bitcoin” est révolu. L’attitude des (nouvelles) autorités françaises fait évidemment l’objet de spéculations.

Le Repas a donc permis de nombreux échanges tournés vers l’avenir, malgré la perspective de l’été meurtrier (ou pas) évoqué le matin même sur le site Bitcoin.fr … et sur les stratégies à adopter durant les “turbulences” possibles.

Après quelques cafés, et comme le Cercle du Coin tenait le soir sa réunion dans le jardin des Tuileries, quelques membres dudit Cercle, parisiens et toulousains, en ont profité pour passer poser devant le célèbre “Hôtel de Toulouse”…

24 ème repas du Coin (à Bordeaux)

Comme en 2015 et 2016, c’est en mai que les bitcoineurs ont tenu leur 3ème repas dans une cité girondine baignée de soleil.

Retrouvailles dès midi devant le Cajou Caffé place Camille Jullian (un historien!)

26 convives, dont 13 nouveaux participants, une assistance très largement bordelaise malgré le déplacement en force de quelques toulousains, de deux parisiens et d’un marseillais.

Une avocate bordelaise (une pionnière à tous les sens du terme!) et beaucoup de développeurs à ce repas, donc des conversations souvent techniques.

On a également évoqué les récentes ICO, pris des paris sur l’impact de l’implémentation de Segwit dans moins de deux mois sur le cours du bitcoin, mentionné des expériences les plus diverses autour de blockchains, regretté la persistante hostilité d’une certaine presse et moqué les publications incongrues d’un ancien banquier.

Le T-shirt “Thanks a million” importé de Paris a fait forte impression…

Quelques dédicaces d’exemplaires de “Bitcoin la monnaie acéphale” et beaucoup de bières, une promenade presque rituelle au Jardin Public pour poursuivre les échanges entre le repas et le meet-up au Café français au pied de la cathédrale. Les derniers passionnés se sont quittés à la nuit tombée…

23ème Repas (à Lille)

Retour à Lille 19 mois après le repas d’octobre 2015, avec autant de monde et pourtant du renouvellement: 20 convives dont 11 nouveaux. Une large majorité de lillois, mais aussi des parisiens et des bruxellois, et des gens du Sud de la Loire, toujours fidèles à ces rencontres.

Dans l’agréable restaurant de la rue de Gand, les conversations ont porté sur l’attitude escomptée du nouveau président vis à vis de Bitcoin (ne s’est-il pas fait photographier avec un Ledger Wallet?) mais aussi, évidemment, sur l’envol impressionnant des cours tant de Bitcoin que d’autres devises.

 

22 ème repas du Coin (à Paris)

Une affluence record : 35 participants, dont 8 ont choisi d’acquitter le prix du repas en bitcoin puis le Petit Orgueil, tout voisin du Passage du Grand Cerf, accepte Bitcoin.

Une grande majorité de parisiens (voire quelques parisiennes) et des convives venus de Rennes, Strasbourg, Bordeaux et Barcelone pour cette rencontre toujours conviviale, passionnée et surprenante.

Le repas (rituellement précédé d’un long apéritif dans la rue Marie Stuart!) séduit en effet, et intrigue toujours : 15 convives participaient pour la première fois à ce 22ème repas (le 12ème à Paris). Juristes, étudiants en masters ou journalistes sont curieux de rencontrer des développeurs et des patrons de start-up engagées dans l’essor des échanges décentralisés.

Les conversations ont porté sur divers indices d’une amélioration sensible  du climat légal pour Bitcoin (au Japon, en Arizona) qui balancent les nuages toujours présents à l’horizon au dessous de son protocole, sur la relative indifférence des politiques vis à vis des blockchains, sur l’envol récent du cours de nombreuses alt-coins, sur les retombées des vidéos d’Autodisciple (qui participait au repas) et sur les nombreux événements à venir, conférences, hackatons, consultations…

L’acceptation d’ether comme monnaie est un fait relativement nouveau qui a suscité également bien des discussions. Enfin certains ont dû répondre à la rituelle question “comment avez vous rencontré Bitcoin? ” : occasion de retour sur soi et de comparaison de trajets convergents…

21ème repas du Coin (à Amiens)

Avec 28 convives réunis dans la capitale picarde, c’est un record d’affluence pour un repas en région qui a été enregistré pour ce 21ème repas, qui marquait le second anniversaire de cette institution informelle et le franchissement du 500ème couvert servi !

La journée avait commencé pour quelques-uns par une petite visite à la cathédrale, pour regarder, avec, Jacques Favier, l’étonnant labyrinthe qui lui aussi en dit long sur… le rapport entre effort et preuve.

Une dizaine d’amiénois, engagés ou curieux, dont les responsables de la Tech Amiénoise avec qui le repas avait été organisé, et plus encore de parisiens (là aussi, un record!) mais également des convives venus de Bordeaux, Marseille, Lille, Bruxelles et …de Marrakech se sont ensuite retrouvés dans un décor tout différent, sous l’avion suspendu du très américain Steak Easy.

Les conversations, tâchant d’éviter le feuilleton politique, ont tourné sur le franchissement par le cours du bitcoin du prix de l’once d’or, sur l’excitation provoquée par la perspective d’un ETF des Winklevoss (fonds en bitcoin), sur la Merkle Conference organisée à la fin de la semaine par Eureka, sur les perspectives que l’utilisation des blockchains ouvre aux marchés de l’énergie, sur l’opération “30 jours en Bitcoin” menée par le Youtubeur Autodisciple, présent au repas. Egalement présents, Pierre Noizat a pu évoquer devant les convives les preuves de travail monumentales que nous ont léguées les institutions du passé et regarder, et Philippe Rodriguez a brièvement présenté son ouvrage, Blockchain Revolution, qui sera officiellement présenté et dédicacé à la Maison du Bitcoin le 9 mars.

Les conversations se sont ensuite poursuivies par petits groupes, nombre de visiteurs profitant de  l’occasion pour flâner vers l’agréable quartier Saint-Leu et les bords de Somme avant de reprendre le train ou la voiture.

 

20ème Repas (à Paris)

Malgré le froid vif, la rue Marie Stuart était encore remplie ce lundi midi de convives prenant l’apéritif en se retrouvant ou en faisant connaissance.

33 personnes à la table du “Petit Orgueil“, venues du Silicon Quarter parisien mais aussi de Marseille, Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Metz,  Amiens et Vierzon, et même de Barcelone et de Hong-Kong ! Certains ont naturellement choisi d’y régler leur addition en bitcoin, puisque l’établissement a été converti !

L’opération “Bitcoin Boulevard” continue d’ailleurs de susciter la curiosité, et la présence de l’un des commerçants du Passage du Grand Cerf a pu renforcer le lien entre la communauté des bitcoineurs parisiens et ce lieu désormais emblématique.

Raj “Autodisciple” qui entame ses 30 jours en Bitcoin, était là, et son aventure à venir a aussi créé de l’intérêt.

Enfin un beau contingent de banquiers curieux, de mathématiciens savant et de cryptographes subtils ont permis de renouveler les conversations.

19 ème repas (à Strasbourg)

Cap à l’est, et une neuvième cité où se célèbre le “repas du Coin”, pratiquement au pied des 142 mètres de la tour de la Cathédrale , au centre ancien de Strasbourg dans une Winstub de la rue des Frères.

Nous étions 16, dont 10 convives nouveaux alsaciens ou suisses, un contingent venus du Centre d’études internationales de la propriété intellectuelle (CEIPI de l’Université de Strasbourg), un directeur de l’innovation d’une banque locale et quelques figures  de la communauté bien connues sous leurs prénoms ou pseudonymes et qu’il était agréable de rencontrer enfin.

Un plaisir particulier, pour nombre de convives: rencontrer Jean-Luc à qui les bitcoineurs francophones sont toujours reconnaissants d’animer bitcoin.fr.

Les conversations ont porté sur de récentes prédictions de hausse du cours du bitcoin, sur ce que le KYC apporte ou n’apporte pas, sur les problématiques des banques face à une monnaie qui leur échappe, sur divers projets de start-up, sur l’apport possible des blockchains à la gestion de la propriété intellectuelle, sur la musique et les jeux en ligne, activités qui ont amené bien des gens à s’intéresser au bitcoin

 

18ème repas du Coin (à Rennes)

Une nouvelle ville, la huitième, a accueilli ce jour le 18ème repas du Coin au Café Noir, tout proche de la Gare, une bonne adresse suggérée par une amie de la French Tech rennaise qui a grandement aidé au succès de cette rencontre.

Plus d’une moitié des 22 convives participaient en effet pour la première fois à ce repas qui comportait un très fort contingent de bretons, même si les piliers habituels, venus de Paris, Bordeaux ou Marseille et quelques “bretons” d’origines étrangères (allemand ou italien) assuraient l’indispensable mixité géographique qui fait aussi le charme de ces rencontres

Autre caractéristique (outre un contingent de 5 jeunes femmes, soit dans la fourchette haute en matière de présence féminine!) une présence en force de scientifiques : CNRS, INRIA, ENSAI, enseignants dans plusieurs universités françaises ou étrangères.

Les conversations ont donc été érudites (ce qu’il faut) mais ont aussi tourné sur l’ouverture récente d’un “Bitcoin Boulevard” parisien, sujet intéressant vivement et suscitant un brin d’émulation, l’arrivée des surcouches Bitcoin, les monnaies ludiques et la régulation.

17 ème repas (à Paris)

Pour ce 17ème repas (le 10ème organisé à Paris) 29 participants se sont retrouvés au Le Petit Orgueil rue Marie-Stuart qui réservait aux convives une belle surprise  : depuis le week-end, l’établissement accepte le bitcoin.

Cinq jeunes femmes seulement (sur 14 invitées en tout) mais encore 7 nouveaux convives, prouvant que l’intérêt pour Bitcoin et les échanges décentralisés ne faiblit pas et que la communauté continue d’exercer son attrait toujours plus largement. Une belle présence de mathématiciens et de chercheurs universitaires, d’économistes et de représentants de quelques think tanks. Mais également 11 entreprises , et pas toutes minuscules, loin de là!

Les conversations résonnaient encore des échos des diverses manifestations de la semaine précédente autour d’Andreas Antonopoulos, mais ont aussi porté sur les signes d’essoufflement que semble donner la “hype blockchain”, sur diverses innovations technologiques prometteuses mais aussi sur la sécurité de la cryptographie, sur la poursuite discrète mais continue de l’acceptation du bitcoin dans des commerces de toutes sortes. Dans un registre plus grave, les risques qui pèsent sur le système monétaire et bancaire actuel, entre fragilité de la Deutsche Bank et flash crash sur la livre sterling n’ont pas manqué de susciter des commentaires. Enfin Tintin ou la Chine ont aussi fourni matière à discussion dans une atmosphère toujours amicale et stimulante !